le diocèse en pélérinage
Photos du pélérinage par le Père Vian Photos du Pélé-Jeunes (Célia Monnet ) photos et articles suivants: Denis Magnin Et que brûle la flamme du diocèse! 21
août 2008 Les étapes du chemin ... Enfin, les pèlerins du diocèse ont pu accéder à la grotte .. ( lire la suite - voir les photos ) 20
août 2008 Journée
des malades: " donner du sens à ce qui nous blesse !" 19 août 2008 Lourdes: les pèlerins du diocèse à bon port Près de 300 pèlerins, accompagnés d'une quarantaine d'hospitaliers, et d'une trentaine de jeunes, participent du 18 au 22 août 2008, au traditionnel pèlerinage diocésain. Les pèlerins, nettement plus nombreux que l'année précédente, ont eux mêmes découvert une affluence inhabituelle, très certainement liée au jubilé du 150 ème anniversaire des apparitions. « Je n'ai jamais vu autant de monde », nous a confirmé un chauffeur de taxi. Probablement 30 000 pèlerins présents, la même semaine, avec un pèlerinage pas tout à fait comme les autres, celui des gitans, ayant dressé leur camp devant le petit couvent. Il était 19h, l'heure de l'Angélus, ce lundi 18 août, lorsque le car n°4, l'un des six cars affrétés par le diocèse, a franchi le panneau « Lourdes ». Depuis Manosque, les passagers ont tout à la fois pu apprécier la conduite du chauffeur, Ali, mais aussi sa gentillesse. Sans doute un avant goût du sourire de Dieu, dont parlera le Père Disdier-Chave, vicaire général, à l'issue de la messe d'ouverture, à l'église paroissiale, là où Bernadette reçut le baptême, première étape du chemin du jubilé. « Marie, elle ne parle pas, elle sourit, dira-t-il. Du sourire de Dieu pour chacun de nous (...) Là où nous sommes, il nous faut être ce sourire de Dieu ». Quelques instants auparavant, le Père Christian Vian, directeur du pèlerinage, évoquant « la dignité exceptionnelle que confère le baptême », avait appelé les pèlerins à « renaître, pour devenir véritablement disciples du Christ et pour grandir dans la communion les uns avec les autres ». Pendant ce temps là, les hospitaliers mettaient déjà en oeuvre cette communion, en servant un verre d'eau à quelques malades. Un premier groupe de pèlerins, bravant la bruine, a poursuivi son jubilé, par le cachot et l'hospice, conduits par le Père Disdier-Chave prenant soin, à chaque étape, d'éclairer son auditoire sur le message de la Vierge Marie - »nous sommes appelés à vivre dans le monde en enfants bien-aimés du Père »- et sur telle ou telle période de l'histoire de Bernadette. Dans la minuscule pièce dite du cachot, où la famille Soubirous vécut à 7 enfants, il racontera notamment que les voisins n'ont jamais entendu un cri ou une dispute. Devant l'hospice, où Bernadette fit sa première communion, il expliquera le sens de l'eucharistie, « qui nous appelle à devenir ce que nous recevons ». Il s'est même arrêté devant l'ancien presbytère, où il racontera notamment comment Bernadette a du convaincre le curé de l'époque de la véracité des apparitions lorsqu'elle prononça le nom de « l'Immaculée Conception », un dogme que l'Eglise avait défini quelques années auparavant. Les malades devaient pouvoir accéder aux piscines, mardi après midi, avant la procession eucharistique et la procession aux flambeaux en fin de journée. Mercredi, devrait être donné le sacrement de l'onction des malades. |